Le capitalisme a échoué au Canada et dans le monde entier. Le Parti de l'égalité socialiste/Socialist Equality Party organise la classe ouvrière dans la lutte pour le socialisme: la réorganisation de toute la vie économique au service des besoins sociaux, et non du profit individuel.
Le socialisme signifie l'abolition de toutes les formes d'inégalité et d'exploitation. La lutte pour le socialisme est en même temps une lutte contre la guerre impérialiste, l'autoritarisme, la dégradation de l'environnement et toutes les conséquences de la société capitaliste.
Le socialisme n'est pas un cadeau qui sera offert à la classe ouvrière. Il doit être gagné par la classe ouvrière elle-même au moyen de la lutte. Il ne sera réalisé que par un mouvement révolutionnaire qui a pour but l'établissement du pouvoir ouvrier.
De plus, le socialisme ne peut être réalisé dans un seul pays. Tous les grands problèmes auxquels est confrontée l'humanité sont des problèmes mondiaux qui exigent des solutions mondiales.
La lutte pour le socialisme exige donc l'unité et la collaboration des travailleurs de tous les pays sur la base d'une perspective et d'un programme communs. Le Parti de l'égalité socialiste travaille en solidarité avec le Comité international de la Quatrième Internationale, le parti mondial de la révolution socialiste fondé par Léon Trotsky en 1938, dont il accepte l'autorité politique.
Cette page contient certaines des plus importantes déclarations sur le programme du PES.
Pour repousser l’assaut de la classe dirigeante sur les conditions de vie et les droits démocratiques, et combattre le tournant de l'impérialisme canadien vers la guerre, la classe ouvrière doit adopter une nouvelle perspective politique et bâtir de nouvelles organisations de lutte.
L'alliance des syndicats avec la grande entreprise a été illustrée par une déclaration commune du Congrès du travail du Canada et de la Chambre de commerce du Canada.
Révélant le caractère oligarchique de la société canadienne, le rapport a constaté que le 1 pour cent le plus riche des Canadiens possède autant que les 80 pour cent les plus pauvres de la population.
La réponse désastreuse du Canada à la pandémie est d'autant plus criminelle vu l'impact du SRAS et les promesses répétées du gouvernement que le système de santé du pays serait bien préparé à tout futur nouveau virus.
Quelques semaines à peine après le krach financier de 2008, le gouvernement conservateur du Canada a utilisé les pouvoirs arbitraires du gouverneur général non élu pour dissoudre le Parlement et empêcher sa défaite par un vote de censure.
La représentation du Canada comme un antipode progressiste à la république rapace du dollar au sud fait depuis longtemps partie de l'arsenal idéologique de la classe dirigeante.
Les syndicats, le Nouveau Parti démocratique, les associations étudiantes proches des syndicats et du Parti québécois, ainsi que toute la pseudo-gauche québécoise ont étouffé politiquement la grève, la confinant à un mouvement étudiant de protestation visant à faire pression sur le gouvernement Charest et l’élite du Québec.
Le Canada n'était absolument pas préparé à la pandémie, la "santé" des marchés financiers étant considérée comme bien plus importante que celle du système de soins de santé.
Le gouvernement libéral est déterminé à «rouvrir» l'économie, même s'il concède que le Canada se trouve au milieu d'une «deuxième vague» de la pandémie qui menace d'être pire que celle du printemps dernier.
Considérant le partenariat militaire et stratégique que le Canada entretient avec Washington, il est inconcevable que le gouvernement Trudeau n’ait pas été mis au fait des renseignements que Trump et les dirigeants démocrates ont reçus sur la pandémie.
Alors que les conventions collectives des 17.000 travailleurs employés par les Trois de Detroit au Canada arrivent à échéance, la tâche urgente et nécessaire est de prendre la lutte en main en créant des comités de la base indépendants d'Unifor.
Malgré les informations extrêmement limitées présentées dans les faits saillants d'Unifor, nombre des principaux arguments du syndicat en faveur de l'accord se sont avérés égoïstes et faux.
La grève de 1937 chez GM à Oshawa contient des leçons clés pour les travailleurs qui luttent pour défendre leurs emplois et leurs droits contre les patrons de l'auto et la bureaucratie du syndicat Unifor.
Des cadres supérieurs aux fonctionnaires de bas niveau, le syndicat est démasqué comme une conspiration criminelle dirigée contre les travailleurs de l’automobile.
Terrifiées à l’idée que les grèves indépendantes se propagent à d’autres usines au Mexique et par la suite aux États-Unis et au Canada, les entreprises basées aux États-Unis et ailleurs ainsi que les élites locales répondent par des licenciements de masse, des fermetures d’usines et d’autres représailles.
